Qui suis-je ?

J’exerce le métier de psychologue. C’est une activité qui traite le mal-être des personnes de toutes les tranches d’âge. Cet état de dégradation de la qualité de la santé et du bien-être demande à ce que j’interviens et que je sers d’écoute et d’interlocuteur confidentiel.

Mon objectif dans ce métier de psychologie

Mon objectif est bien évidemment d’aider le patient à se sentir mieux et à retrouver son bien-être. Il faudrait qu’il ressente l’harmonie de vie jusqu’à ce que les séances de consultation prennent fin. Trois rôles définissent mon objectif : l’écoute, le soutien psychologique et le conseil d’accompagnement. Pour rassurer les patients, je tiens compte du secret professionnel. Ils n’auront pas de souci à partager dans ce cas leur secret qui entraîne leur blocage.

À chaque tranche d’âge, les patients demandent un suivi personnalisé. D’ailleurs, les difficultés ne sont pas les mêmes pour les enfants, les adolescents, les adultes et les seniors. Je suis apte à cerner le traitement de chacun d’eux sans mélanger chaque besoin. Je ne prescris pas de médicaments.

Les approches psychologiques que je prends en charge

Je propose de nombreux traitements liés aux orientations diversifiées. Chaque patient a son propre suivi pour retrouver son mieux-être. Les orientations englobent l’orientation analytique, comportementale, existentielle et interactionnelle. Encore d’autres cas peuvent survenir, mais ces derniers sont les plus constatés auprès des patients. C’est en fonction de ces approches que je déterminerai les séances de consultation du patient. La fréquence des thérapies dépendent ensuite de l’évolution de l’état de l’individu.

Pourquoi j’ai décidé d’être un psychologue ?

Si mon entourage trouvait étrange le fait que je voulais devenir un psy, c’était une décision qui allait de soi pour moi. Ayant vécu dans une famille où l’équilibre personnel n’était pas vraiment son fort, j’ai toujours souhaité comprendre notre fonctionnement à nous et tous ces comportements à l’origine de nos conflits familiaux.

Plus tard, j’ai de plus en plus développé de l’empathie, une qualité qui m’a incité à vouloir comprendre mon entourage, ce qui m’a également aidé à exceller dans mon métier de psychologue. J’avais envie d’aider toutes ces personnes qui ont fait face aux mêmes problèmes que les miens et ceux de ma famille. Dès mes premières années d’études, j’ai su que devenir un psychologue n’était pas un simple choix, mais que c’était entièrement ma vocation.